Questionnaire de satisfaction.
Premier épisode de la série dont le prologue a eu lieu il y a quelques jours.
Devant le succès rencontré par ce billet anodin (32 commentaires, tout de même), je ne peux qu'être navré de constater que les lecteurs de ce carnet sont à majorité d'inquiétantes personnes avides de sensationnalisme, de potins et autres sujets particulièrement importants qui font la joie de Voilou ou de Paris boum boum. J'en prends acte et j'y penserai lorsque j'écrirai un billet ennuyeux à mourir.
Comme l'afficheur tient ses promesses, je vais me soumettre à la demande générale (et plus particulièrement aux suppliques de Bix, Morgan, Miss Lulu, Guillermito et de Laurent (le plus intéressé par ces révélations ô combien tonitruantes, apparemment), ne niez pas, j'ai les noms... Du beau monde, dites-moi, comme quoi, la blogosphère, rumeurs, complots, bac à sable, rends-moi mon râteau, tout ça...). Bref.
Mais, en Suède comme ailleurs, il y a un proverbe (ma foi fort à propos) qui dit que charité bien ordonnée commence par soi-même. C'est donc pour cela que Carte postale suédoise, le carnet qui balaie devant sa porte, va avec joie se tirer une première balle dans le pied en faisant travailler son lectorat.
Ce carnet, dans un souci permanent d'amélioration de la qualité de ses produits, vous propose donc à vous, ses clients, d'agir. Il ne vous coûtera que quelques minutes de votre temps pour apporter une aide précieuse au service qualité qui est chargé de s'occuper de ce lieu mal famé.
Pour cela, une seule solution : faire ressortir vos aigreurs les plus profondes, aiguiser votre plume la plus noire, préparer l'arme nucléaire ou le hameçon pour attraper le goujon dans la Sèvre nantaise, et laisser un commentaire incendiaire sur ce carnet et sur le petit con qui l'écrit. Ne vous privez pas, ne vous dites pas "ah non, ça c'est trop gros quand même, et puis c'est de la mauvaise foi" ou alors "mince, je vais perdre un lecteur en lui disant ça". Allez-y franchement. Il paraît que c'est bon pour les nerfs.
Un billet ne vous avait pas plus et vous n'avez rien osé dire ? Dites-le. Mon point de vue vous fait frémir ? Dites-le. Mon point de vue vous ennuie à mourir ? Dites-le. Vous avez trouvé une coquille dans ce billet ? Ne le dites pas, s'il vous plaît. Il y a des limites à la bienséance, tout de même.
L'inconscient que je suis appréciera naturellement votre franchise en constatant que son cuir n'est peut-être pas aussi dur qu'il le prétend. Et sera mieux armé pour se tirer une balle dans son autre pied blogosphérique lors du prochain épisode. S'il est encore numériquement vivant, cela s'entend.
Méfiez-vous cependant, car en Suède il existe également un dicton qui dit que "chacun de nous porte un fou sous son manteau, mais certains le dissimulent mieux que d'autres".
Le lecteur (la lectrice) non régulier(ère) de ce carnet aura compris qu'il faut bien évidemment prendre ce billet au deuxième degré. Voire considérer que je viens de craquer complètement. Je suis un gentil, hein...
Devant le succès rencontré par ce billet anodin (32 commentaires, tout de même), je ne peux qu'être navré de constater que les lecteurs de ce carnet sont à majorité d'inquiétantes personnes avides de sensationnalisme, de potins et autres sujets particulièrement importants qui font la joie de Voilou ou de Paris boum boum. J'en prends acte et j'y penserai lorsque j'écrirai un billet ennuyeux à mourir.
Comme l'afficheur tient ses promesses, je vais me soumettre à la demande générale (et plus particulièrement aux suppliques de Bix, Morgan, Miss Lulu, Guillermito et de Laurent (le plus intéressé par ces révélations ô combien tonitruantes, apparemment), ne niez pas, j'ai les noms... Du beau monde, dites-moi, comme quoi, la blogosphère, rumeurs, complots, bac à sable, rends-moi mon râteau, tout ça...). Bref.
Mais, en Suède comme ailleurs, il y a un proverbe (ma foi fort à propos) qui dit que charité bien ordonnée commence par soi-même. C'est donc pour cela que Carte postale suédoise, le carnet qui balaie devant sa porte, va avec joie se tirer une première balle dans le pied en faisant travailler son lectorat.
Ce carnet, dans un souci permanent d'amélioration de la qualité de ses produits, vous propose donc à vous, ses clients, d'agir. Il ne vous coûtera que quelques minutes de votre temps pour apporter une aide précieuse au service qualité qui est chargé de s'occuper de ce lieu mal famé.
Pour cela, une seule solution : faire ressortir vos aigreurs les plus profondes, aiguiser votre plume la plus noire, préparer l'arme nucléaire ou le hameçon pour attraper le goujon dans la Sèvre nantaise, et laisser un commentaire incendiaire sur ce carnet et sur le petit con qui l'écrit. Ne vous privez pas, ne vous dites pas "ah non, ça c'est trop gros quand même, et puis c'est de la mauvaise foi" ou alors "mince, je vais perdre un lecteur en lui disant ça". Allez-y franchement. Il paraît que c'est bon pour les nerfs.
Un billet ne vous avait pas plus et vous n'avez rien osé dire ? Dites-le. Mon point de vue vous fait frémir ? Dites-le. Mon point de vue vous ennuie à mourir ? Dites-le. Vous avez trouvé une coquille dans ce billet ? Ne le dites pas, s'il vous plaît. Il y a des limites à la bienséance, tout de même.
L'inconscient que je suis appréciera naturellement votre franchise en constatant que son cuir n'est peut-être pas aussi dur qu'il le prétend. Et sera mieux armé pour se tirer une balle dans son autre pied blogosphérique lors du prochain épisode. S'il est encore numériquement vivant, cela s'entend.
Méfiez-vous cependant, car en Suède il existe également un dicton qui dit que "chacun de nous porte un fou sous son manteau, mais certains le dissimulent mieux que d'autres".
Le lecteur (la lectrice) non régulier(ère) de ce carnet aura compris qu'il faut bien évidemment prendre ce billet au deuxième degré. Voire considérer que je viens de craquer complètement. Je suis un gentil, hein...