Phobie générationnelle.
Hier, amies lectrices, amis lecteurs, je vous ai soumis un billet d'un genre un peu particulier. Particulièrement partial, teinté d'une mauvaise foi à faire trembler et d'une vacuité sans fin. Bien que je sois d'accord avec ce que j'ai écrit, je l'ai avant tout publié pour montrer une chose : il est en général naturel de déverser sa bile sur la génération suivante.
Car voilà. Moi aussi j'ai été ridicule. Moi aussi parfois j'ai manqué de tact. Mais je ne m'en rendais pas compte. Et c'est maintenant à mon tour de juger les autres. Avec toute l'intolérance qu'il se doit.
Dans l'ordre naturel des choses. Comme il l'était, en école d'ingénieur, de fustiger la promotion suivante parce qu'elle ne travaillait pas assez ou ne s'investissait pas assez dans la vie de l'école. Comme il l'est de dire "oh, c'était mieux avant". Comme il l'est de dire "le gouvernement actuel est le pire que j'aie jamais vu". On a la mémoire courte, les amis.
Enfin, c'est toujours l'occasion d'écrire un billet rigolo.
Car voilà. Moi aussi j'ai été ridicule. Moi aussi parfois j'ai manqué de tact. Mais je ne m'en rendais pas compte. Et c'est maintenant à mon tour de juger les autres. Avec toute l'intolérance qu'il se doit.
Dans l'ordre naturel des choses. Comme il l'était, en école d'ingénieur, de fustiger la promotion suivante parce qu'elle ne travaillait pas assez ou ne s'investissait pas assez dans la vie de l'école. Comme il l'est de dire "oh, c'était mieux avant". Comme il l'est de dire "le gouvernement actuel est le pire que j'aie jamais vu". On a la mémoire courte, les amis.
Enfin, c'est toujours l'occasion d'écrire un billet rigolo.