Mièvreries.
Fort du succès de sa peu glorieuse première gorgée de bière, Philippe Delerm s'est attaqué à l'écriture d'un essai de style singulier : la description d'une ville. Et, hasard parmi les hasards, il a choisi Rouen, ville qu'il aime et connaît. Cela tombe bien, moi aussi.
Et l'écrivain qui a le vent en poupe de nous abreuver des ses sempiternels vagabondages mielleux, de ses descriptions à l'emporte-pièce de ces désormais célèbres "petits bonheurs quotidiens". Que de temps perdu à lire ces phrases trop proprettes pour retranscrire l'ambiance de cette cité si particulière ! Que d'effets de manche pour un livre qui n'intéressera que les Rouennais, et encore...
Trêve de bavardages, monsieur Delerm. Il serait temps de sortir de cette ambiance "Amélienne" qui tend un voile rose bonbon sur une réalité plus complexe que vous ne l'imaginez.
Ah oui, tiens. J'ai fait la même chose avec Nantes, comme c'est étrange...
Et l'écrivain qui a le vent en poupe de nous abreuver des ses sempiternels vagabondages mielleux, de ses descriptions à l'emporte-pièce de ces désormais célèbres "petits bonheurs quotidiens". Que de temps perdu à lire ces phrases trop proprettes pour retranscrire l'ambiance de cette cité si particulière ! Que d'effets de manche pour un livre qui n'intéressera que les Rouennais, et encore...
Trêve de bavardages, monsieur Delerm. Il serait temps de sortir de cette ambiance "Amélienne" qui tend un voile rose bonbon sur une réalité plus complexe que vous ne l'imaginez.
Ah oui, tiens. J'ai fait la même chose avec Nantes, comme c'est étrange...