Quand Joi Ito est là où on ne l'attend pas.
Petite surprise en parcourant cet article du NY Times ce soir et en voyant le nom de son signataire (très populaire au sein d'une partie de la blogosphère). Encore plus surpris quand j'en lis la teneur. Parce que l'oubli, c'est le meilleur moyen de laisser refaire des atrocités. A l'heure où le Japon repense à l'armement atomique pour contrer les velléités de ses voisins. A l'heure où l'Iran met un sacré camouflé à l'Union Européenne et à la communauté internationale. Alors tout, sauf l'oubli.