Saturne, un bimensuel qui sait attirer le client.
De passage à Yverdon-les-Bains (deuxième ville du canton de Vaud derrière Lausanne, au bord du lac de Neuchâtel), j'ai été surpris par l'une des unes de journaux disposées devant un kiosque.
Un titre qui laisse rêveur...
J'en ai vu des unes qui sentent le scandale (et en Suède, cela foisonne, et beaucoup plus qu'en France, croyez-moi). Mais là, c'est gros, tout de même. Un peu trop pour être sérieux. Mais peut-être suffisant pour être corrosif.
Saturne, c'est un nouveau journal satirique bimensuel qui, d'après ce que j'ai pu comprendre, se veut singulier. Avec des unes (pas forcément très révélatrices du contenu ni de la teneur des articles) comme cela, il l'est. Et il attire le client, puisque les numéros partent apparemment comme des petits pains. J'aurais dû en acheter un. La satire n'est pas le monopole du Canard, tout de même.
Voilà. C'était juste pour mettre ce soir en valeur un nouveau (enfin jeune, dirons-nous) titre de presse francophone. Car de nos jours, lancer un journal de presse écrite, c'est plutôt rare et risqué.
Un titre qui laisse rêveur...
J'en ai vu des unes qui sentent le scandale (et en Suède, cela foisonne, et beaucoup plus qu'en France, croyez-moi). Mais là, c'est gros, tout de même. Un peu trop pour être sérieux. Mais peut-être suffisant pour être corrosif.
Saturne, c'est un nouveau journal satirique bimensuel qui, d'après ce que j'ai pu comprendre, se veut singulier. Avec des unes (pas forcément très révélatrices du contenu ni de la teneur des articles) comme cela, il l'est. Et il attire le client, puisque les numéros partent apparemment comme des petits pains. J'aurais dû en acheter un. La satire n'est pas le monopole du Canard, tout de même.
Voilà. C'était juste pour mettre ce soir en valeur un nouveau (enfin jeune, dirons-nous) titre de presse francophone. Car de nos jours, lancer un journal de presse écrite, c'est plutôt rare et risqué.