Impressions musicales.
19h52, sortie du métro, station Universitetet, escalator. Dans mes oreilles, Beck termine gentiment son Nobody's fault but my own. Le temps est gris dehors, crachin et brouillard dont le Rouennais serait presque jaloux. Et tout à coup, moment grandiose.
Bourrasque de vent, la lecture aléatoire m'offre le Confutatis, du Requiem de Mozart. Atmosphère incroyable. Temps humide et triste, hostile. Les choeurs sont magistraux. Tout est gris, la pluie paraît presque bienvenue.
La musique portable, c'est un truc d'esthète qui atteint le plaisir suprême quand les morceaux tombent au moment idéal. Comme ce Tommib de la bande originale de Lost In Translation qui était arrivé alors que j'étais dans ce grand ascenseur de verre, à plus de 30 mètres du sol. Ou cette Gymnopédie de Satie, en pleine traversée de l'archipel de Stockholm, par temps calme et bleu.
La musique, the soundtrack of your life, paraît-il...
Bourrasque de vent, la lecture aléatoire m'offre le Confutatis, du Requiem de Mozart. Atmosphère incroyable. Temps humide et triste, hostile. Les choeurs sont magistraux. Tout est gris, la pluie paraît presque bienvenue.
La musique portable, c'est un truc d'esthète qui atteint le plaisir suprême quand les morceaux tombent au moment idéal. Comme ce Tommib de la bande originale de Lost In Translation qui était arrivé alors que j'étais dans ce grand ascenseur de verre, à plus de 30 mètres du sol. Ou cette Gymnopédie de Satie, en pleine traversée de l'archipel de Stockholm, par temps calme et bleu.
La musique, the soundtrack of your life, paraît-il...