De tout, mais surtout de rien.
Aujourd'hui j'aurais voulu revenir sur Le cri de Munch, j'aurais également voulu revenir sur ma dernière lecture de Bourdieu, j'aurais aimé m'attarder à prendre une belle photo... Mais bon, voilà. Même pas le temps de préparer mon billet au boulot. Donc je vous gratifie aujourd'hui d'un pauvre billet "3615 c'est ma vie". Belle solution de facilité.
Dernière semaine de stage, et le tuteur panique lorsque je dis qu'il faut installer un serveur et une base de données pour que ça marche. Le stagiaire qui fait stresser le tuteur, on aura tout vu. Grosse journée, donc. Finalement ce soir tout tourne impeccablement, l'application qui était l'objet de ma présence ici fait des merveilles et il a des yeux qui pétillent. C'en est presque touchant. Dans sa grande bonté il me paiera peut-être le café vendredi midi. Et encore, s'il a le temps.
De retour à l'appartement il faut de nouveau se faire violence. Un brin de classement vertical. Un soupçon de cartons. Une bonne dose de ménage. On saupoudre le tout de musique pour se donner du coeur à l'ouvrage. C'est fou ce que l'on peut entasser dans un appartement.
Foutoir.
Dernière semaine de stage, et le tuteur panique lorsque je dis qu'il faut installer un serveur et une base de données pour que ça marche. Le stagiaire qui fait stresser le tuteur, on aura tout vu. Grosse journée, donc. Finalement ce soir tout tourne impeccablement, l'application qui était l'objet de ma présence ici fait des merveilles et il a des yeux qui pétillent. C'en est presque touchant. Dans sa grande bonté il me paiera peut-être le café vendredi midi. Et encore, s'il a le temps.
De retour à l'appartement il faut de nouveau se faire violence. Un brin de classement vertical. Un soupçon de cartons. Une bonne dose de ménage. On saupoudre le tout de musique pour se donner du coeur à l'ouvrage. C'est fou ce que l'on peut entasser dans un appartement.
Foutoir.