Drogue douce ?
Cela fait maintenant environ deux ans et demi que je passe un certain temps tous les jours sur Internet. Je crois que je dois en être à plus de 4 heures quotidiennes, sans trop exagérer. A l'heure de repartir dans ma Normandie natale et de m'envoler vers la Scandinavie, je dis au revoir à tous mes amis partis ça et là par courriel et messagerie instantanée. Un au revoir très provisoire dans la mesure où j'aurai vraisemblablement accès à Internet très rapidement, la Suède étant un pays très en avance à ce niveau. Mais voilà. Au minimum une semaine de coupure numérique à prévoir. Sans doute plutôt deux. Et les conversations numériques ressemblent à des dialogues un tantinet angoissés, d'un côté comme de l'autre.
Voilà donc l'heure de l'épreuve. Deux semaines sans Internet, sans consulter une quelconque boîte de réception, sans ouvrir le moindre logiciel de messagerie instantanée, sans écrire le moindre billet. Je crois que cela me fera certainement du bien. C'en est devenu un peu trop. Constamment à l'affût du moindre flux RSS. Pas fichu de voir qu'un courriel sur dix est finalement réellement nécessaire. Rupture. Cela sera sans aucun doute bénéfique à ce carnet qui, finalement, n'est fabriqué qu'à partir d'événements extra-numériques (je n'aime pas tellement parler d'Internet, par ailleurs).
A creuser, tout de même.
Voilà donc l'heure de l'épreuve. Deux semaines sans Internet, sans consulter une quelconque boîte de réception, sans ouvrir le moindre logiciel de messagerie instantanée, sans écrire le moindre billet. Je crois que cela me fera certainement du bien. C'en est devenu un peu trop. Constamment à l'affût du moindre flux RSS. Pas fichu de voir qu'un courriel sur dix est finalement réellement nécessaire. Rupture. Cela sera sans aucun doute bénéfique à ce carnet qui, finalement, n'est fabriqué qu'à partir d'événements extra-numériques (je n'aime pas tellement parler d'Internet, par ailleurs).
A creuser, tout de même.