Gott nytt år, évidemment.
Même si, comme 90% des billets de la blogosphère sur le sujet, je vais faire preuve d'une originalité incroyable, je tiens tout d'abord à vous souhaiter mes meilleurs voeux pour la nouvelle année. Puisse-t-ils s'avérer sincères, même si tout cela reste finalement très artificiel (peut-être moins pour les lecteurs réguliers de ce carnet que je commence à connaître un tout petit peu !). Une année 2005 qui, si elle n'a peut-être pas été celle de la fin des blogues, n'aura pas été à marquer d'une pierre blanche en ce qui me concerne. Mais elle aura comporté des petits événements qui en auront fait une année agréable. La rencontre d'un certain nombre de personnes auxquelles je tiens maintenant. La découverte de nouveaux pays. Et...
C'est étrange finalement, ce grand voile qui se jette sur chaque bilan. On a un peu de mal à tirer une conclusion représentative de l'année écoulée. Comme s'il ne s'était rien passé de marquant, rien dont on se souvienne à coup sûr. Comme quoi toutes nos perceptions se font dans le court terme.
En espérant, plus généralement, une année 2006 pleine de réflexions et de sagesse. Une année où, à la télévision, on verra plus de documentaires que de diffusions du sautillant "extreme makeover". Une année où les discours politiques voleront plus haut que les voeux de nouvelle année de notre cher président. Une année où l'augmentation des émissions de CO2 soulèvera plus d'inquiétudes que la croissance chinoise. Une année de culture, une année où la bêtise ne sera plus le dénominateur commun de nos actions.
Je tenais à m'excuser de ne pas avoir répondu à vos commentaires. Depuis mon dernier billet, un peu d'eau a coulé sous les ponts. Mon départ en Allemagne est finalement avorté pour cause de "restructuration de projet" (avouez qu'être victime d'une restructuration avant même d'avoir commencé, c'est assez cocasse). Et mon avenir se dessine donc à nouveau du côté de la Suède, du côté de l'université. Un déménagement et des démarches administratives inutiles donc (appartement rendu, compte en banque fermé...), une certaine exaspération qui m'habite toujours, mais une fatigue morale qui se dissipe un peu maintenant... Un conseil donc, à toutes celles et tous ceux qui postulent pour un travail de fin d'études en entreprise : ne faites aucune démarche tant que vous n'avez pas un contrat signé. Même si votre contact vous assure que l'on a besoin de vous, même si vous connaissez déjà la date de début de votre stage. Les paroles s'envolent, les écrits restent. Cela vous évitera une grosse déception et un déploiement d'énergie qui s'avèrera inutile.
Bonne année, donc, amis lecteurs. Et au plaisir de vous retrouver. Car écrire davantage après un mois de décembre plutôt creux, c'est ma nouvelle résolution. Gageons qu'elle ne sera pas encore trop dure à tenir.
C'est étrange finalement, ce grand voile qui se jette sur chaque bilan. On a un peu de mal à tirer une conclusion représentative de l'année écoulée. Comme s'il ne s'était rien passé de marquant, rien dont on se souvienne à coup sûr. Comme quoi toutes nos perceptions se font dans le court terme.
En espérant, plus généralement, une année 2006 pleine de réflexions et de sagesse. Une année où, à la télévision, on verra plus de documentaires que de diffusions du sautillant "extreme makeover". Une année où les discours politiques voleront plus haut que les voeux de nouvelle année de notre cher président. Une année où l'augmentation des émissions de CO2 soulèvera plus d'inquiétudes que la croissance chinoise. Une année de culture, une année où la bêtise ne sera plus le dénominateur commun de nos actions.
Je tenais à m'excuser de ne pas avoir répondu à vos commentaires. Depuis mon dernier billet, un peu d'eau a coulé sous les ponts. Mon départ en Allemagne est finalement avorté pour cause de "restructuration de projet" (avouez qu'être victime d'une restructuration avant même d'avoir commencé, c'est assez cocasse). Et mon avenir se dessine donc à nouveau du côté de la Suède, du côté de l'université. Un déménagement et des démarches administratives inutiles donc (appartement rendu, compte en banque fermé...), une certaine exaspération qui m'habite toujours, mais une fatigue morale qui se dissipe un peu maintenant... Un conseil donc, à toutes celles et tous ceux qui postulent pour un travail de fin d'études en entreprise : ne faites aucune démarche tant que vous n'avez pas un contrat signé. Même si votre contact vous assure que l'on a besoin de vous, même si vous connaissez déjà la date de début de votre stage. Les paroles s'envolent, les écrits restent. Cela vous évitera une grosse déception et un déploiement d'énergie qui s'avèrera inutile.
Bonne année, donc, amis lecteurs. Et au plaisir de vous retrouver. Car écrire davantage après un mois de décembre plutôt creux, c'est ma nouvelle résolution. Gageons qu'elle ne sera pas encore trop dure à tenir.