Un billet pour ne rien dire.
Premier syndrôme de la page blanche. Alors que je commence à avoir quelques lecteurs, ça l'affiche quand même mal. Mais voilà. Le week-end approche à grands pas. C'est un peu ce mal dont parlaient certains médecins. Ces personnes qui sont malades une fois le week-end arrivé, alors qu'elles l'attendaient avec impatience. Les habitudes sont changées. On se lève plus tard, on prend le temps de vivre. Et puis finalement on perd un peu ses repères. Envie de rien. Et la pluie qui s'abat sur les carreaux. Allez demain la muse reviendra...
Quelqu'un me disait que l'important pour un weblog, c'est de savoir pourquoi on le fait. Pourquoi on éprouve le besoin de dire à tout le monde ce que l'on pense, ressent ou fait. J'avoue que je n'y ai pas encore tellement réfléchi, au bout du compte. Il faudra que je le fasse. Pour donner une vraie couleur à ces billets. Une tonalité qui sonnera peut-être juste.
Quelqu'un me disait que l'important pour un weblog, c'est de savoir pourquoi on le fait. Pourquoi on éprouve le besoin de dire à tout le monde ce que l'on pense, ressent ou fait. J'avoue que je n'y ai pas encore tellement réfléchi, au bout du compte. Il faudra que je le fasse. Pour donner une vraie couleur à ces billets. Une tonalité qui sonnera peut-être juste.