Touriste moyen.
Incroyable tout de même le nombre de démarches à accomplir lorsque l'on prévoit de rester un certain temps dans un pays, fût-il membre de l'Union Européenne. Permis de séjour, ouverture de compte, imprimé E128... Tous ces petits riens qui prennent un temps fou et qui détourneraient de l'essentiel. Ce n'est donc qu'hier que j'ai pu réellement découvrir Stockholm, toute sa simplicité et sa sophistication. Une capitale de 1.8 millions d'habitants baignée par les eaux de la mer baltique et du lac Mälar. Une eau si pure que les habitants téméraires s'aventurent régulièrement en son sein, qui atteint timidement les 14 degrés en cette fin d'été. Encore beaucoup de touristes en ce début septembre. Assez frustrant sans doute pour les habitants, qui ne doivent pas beaucoup entendre parler suédois. Qu'ils se consolent, dans deux semaines tout est fini et l'hiver commencera alors. En attendant on sent bien que les autochtones profitent des derniers rayons de soleil. Ils connaissent trop le froid pour ne pas savourer les 25 degrés de cette fin d'après-midi. Cela peut paraître bête mais je l'attends, cet hiver. J'attends de voir les difficultés
qu'il peut réprésenter et de comprendre mieux la joie des habitants quand arrivent les longs jours.
On marche donc ici ou là, et on découvre un trois-mâts (le Af Chapman, qui est en fait une auberge de jeunesse) que ne renierait sans doute pas le capitaine.
C'est tout de même un peu dommage de vous conter ces choses que l'on trouve dans n'importe quel guide. Mais cela les rend peut-être un peu plus vivantes...
qu'il peut réprésenter et de comprendre mieux la joie des habitants quand arrivent les longs jours.
On marche donc ici ou là, et on découvre un trois-mâts (le Af Chapman, qui est en fait une auberge de jeunesse) que ne renierait sans doute pas le capitaine.
C'est tout de même un peu dommage de vous conter ces choses que l'on trouve dans n'importe quel guide. Mais cela les rend peut-être un peu plus vivantes...