Cours sommaire de flûte traversière.
(ne vous méprenez pas pour la photo, je l'avais prise il y a bientôt un an)
Hier, un(e) internaute est arrivé(e) sur ce carnet en ayant tapé la requête "flûte traversière comment souffler".
Pas de nouvelle leçon sur le fait qu'à mon avis 60% des personnes utilisant des moteurs de recherche ne connaissent pas la façon dont ils fonctionnent. Le web sémantique, ce n'est pas encore pour aujourd'hui, malgré l'apparition d'un outil lexical hasardeux sur Google par exemple et de quelques tentatives de sémantisation des requêtes (par exemple). Ask Jeeves est parfois clairvoyant, sans toutefois faire de miracles la plupart du temps.
Donc, je vais répondre à la question, puisque finalement la magie des affluents fait que je connais la réponse (lui aussi, étonnamment).
Tout d'abord, il faut un peu de temps avant de maîtriser la bête. Je me rappelle avoir fait souffrir mon entourage pendant un certain temps. Par contre, une fois que le coup est pris, c'est comme le vélo, on ne l'oublie pas.
Au début, le mieux est de s'entraîner avec l'embouchure seule, sans le corps ni la patte d'ut, face à une glace. La flûte doit être légèrement penchée vers le bas, mais sans plus. Le trou de l'embouchure doit être maintenu horizontal, surtout pas tourné vers la bouche. Le haut du menton est collé contre l'instrument, contrairement aux lèvres. Celles-ci se positionnent indépendamment l'une de l'autre de manière à souffler vers le bas.
Le flûtiste doit toujours sourire un peu lorsqu'il joue, surtout dans les aigus. Cela permet à l'air d'être contenu et de ne pas s'éparpiller sur les côtés. C'est également très important pour garder un débit correct et maîtrisé.
Mais conseils s'arrêtent là, car tout vient avec l'expérience, que ce soit au niveau de la quantité d'air à produire pour sortir une note (on souffle plus fort lorsque la note est aiguë, évidemment) ou au niveau de l'inclinaison de l'instrument qui peut varier dans certains cas. Ce petit film (.mov) est cependant très instructif à ce niveau. Néanmoins, c'est tout de même une bien curieuse idée que de vouloir apprendre à souffler dans une flûte traversière sur Internet au hasard des moteurs de recherche.
Et si finalement, la vraie réponse au web sémantique c'était cela ? La magie des affluents en mots-clés...
Hier, un(e) internaute est arrivé(e) sur ce carnet en ayant tapé la requête "flûte traversière comment souffler".
Pas de nouvelle leçon sur le fait qu'à mon avis 60% des personnes utilisant des moteurs de recherche ne connaissent pas la façon dont ils fonctionnent. Le web sémantique, ce n'est pas encore pour aujourd'hui, malgré l'apparition d'un outil lexical hasardeux sur Google par exemple et de quelques tentatives de sémantisation des requêtes (par exemple). Ask Jeeves est parfois clairvoyant, sans toutefois faire de miracles la plupart du temps.
Donc, je vais répondre à la question, puisque finalement la magie des affluents fait que je connais la réponse (lui aussi, étonnamment).
Tout d'abord, il faut un peu de temps avant de maîtriser la bête. Je me rappelle avoir fait souffrir mon entourage pendant un certain temps. Par contre, une fois que le coup est pris, c'est comme le vélo, on ne l'oublie pas.
Au début, le mieux est de s'entraîner avec l'embouchure seule, sans le corps ni la patte d'ut, face à une glace. La flûte doit être légèrement penchée vers le bas, mais sans plus. Le trou de l'embouchure doit être maintenu horizontal, surtout pas tourné vers la bouche. Le haut du menton est collé contre l'instrument, contrairement aux lèvres. Celles-ci se positionnent indépendamment l'une de l'autre de manière à souffler vers le bas.
Le flûtiste doit toujours sourire un peu lorsqu'il joue, surtout dans les aigus. Cela permet à l'air d'être contenu et de ne pas s'éparpiller sur les côtés. C'est également très important pour garder un débit correct et maîtrisé.
Mais conseils s'arrêtent là, car tout vient avec l'expérience, que ce soit au niveau de la quantité d'air à produire pour sortir une note (on souffle plus fort lorsque la note est aiguë, évidemment) ou au niveau de l'inclinaison de l'instrument qui peut varier dans certains cas. Ce petit film (.mov) est cependant très instructif à ce niveau. Néanmoins, c'est tout de même une bien curieuse idée que de vouloir apprendre à souffler dans une flûte traversière sur Internet au hasard des moteurs de recherche.
Et si finalement, la vraie réponse au web sémantique c'était cela ? La magie des affluents en mots-clés...