God natt.
Les températures remontent et les fenêtres s'ouvrent. Ouvrir une fenêtre, un geste que j'ai toujours aimé.
Tard le soir, de retour de soirée. Douce chaleur de la nuit, besoin de silence, d'immobilisme. Assis au bureau, face à la fenêtre, vue dégagée. Et la fenêtre s'ouvre.
Les bruits de la ville, la nuit. Des ronronnements de voitures qui roulent sur les pavés. Quelques cris, au loin. Le son des conversations de la rue qui monte le long des façades. Une petite musique qui sort de mon ordinateur portable. Musique du soir, souvent peu de paroles. Des rythmes lents, électroniques, volume minimal. On entend parfois davantange le ventilateur que la musique.
Pas de lumière pour éviter les moustiques. Seulement celle de l'écran qui donne à la pièce un teint blafard. Vue vers le nord, la nuit. Quelques lumières allumées, de-ci, de-là. Le silence omniprésent a réveillé l'écoute. L'oreille est à l'affût du moindre bruit. Le chat de la voisine qui a également ouvert sa fenêtre. L'eau qui coule dans les canalisations.
Des soirs comme j'en avais vécu à Nantes l'été dernier. Des moments rares de solitude, très tard le soir, après avoir quitté les amis. Joli.
Tard le soir, de retour de soirée. Douce chaleur de la nuit, besoin de silence, d'immobilisme. Assis au bureau, face à la fenêtre, vue dégagée. Et la fenêtre s'ouvre.
Les bruits de la ville, la nuit. Des ronronnements de voitures qui roulent sur les pavés. Quelques cris, au loin. Le son des conversations de la rue qui monte le long des façades. Une petite musique qui sort de mon ordinateur portable. Musique du soir, souvent peu de paroles. Des rythmes lents, électroniques, volume minimal. On entend parfois davantange le ventilateur que la musique.
Pas de lumière pour éviter les moustiques. Seulement celle de l'écran qui donne à la pièce un teint blafard. Vue vers le nord, la nuit. Quelques lumières allumées, de-ci, de-là. Le silence omniprésent a réveillé l'écoute. L'oreille est à l'affût du moindre bruit. Le chat de la voisine qui a également ouvert sa fenêtre. L'eau qui coule dans les canalisations.
Des soirs comme j'en avais vécu à Nantes l'été dernier. Des moments rares de solitude, très tard le soir, après avoir quitté les amis. Joli.