He's electric.
... He's in a family full of eccentrics (titre relativement navrant au vu de ce que j'avais écrit ici... Mais je le garde tout de même, pouf pouf.).
Depuis un mois et le retour des beaux jours, je suis sujet à un phénomène relativement étrange : une majorité des objets que je touche m'envoie immédiatement une décharge électrique qui me fait sursauter. Parfois violente, parfois anodine. Je connaissais déjà ce phénomène en France lorsque le temps était très sec, avec quelques objets particuliers comme les pulls en laine (avec les petits crépitements adéquats) ou la brosse à cheveux (très drôle lorsqu'on l'approche des cheveux et que ceux-ci se redressent instantanément, rendant le coup de peigne pratiquement impossible).
Mais ici, cela a pris des proportions tout autres. Le manche de la poêle sur sa plaque de cuisson qui m'envoie une décharge qui pousse ma main en arrière, le drap que je sors du sèche-linge, mon clavier d'ordinateur lorsque je ne l'ai pas touché depuis un peu de temps, les poignées de portes... Tout est bon. Le temps est pourtant parfois humide. Un élément m'échappe, en tout cas.
Je devrais me mettre sur le toit de l'immeuble, j'attirerais peut-être la foudre. Ou alors je ferai office d'antenne de télévision.
Depuis un mois et le retour des beaux jours, je suis sujet à un phénomène relativement étrange : une majorité des objets que je touche m'envoie immédiatement une décharge électrique qui me fait sursauter. Parfois violente, parfois anodine. Je connaissais déjà ce phénomène en France lorsque le temps était très sec, avec quelques objets particuliers comme les pulls en laine (avec les petits crépitements adéquats) ou la brosse à cheveux (très drôle lorsqu'on l'approche des cheveux et que ceux-ci se redressent instantanément, rendant le coup de peigne pratiquement impossible).
Mais ici, cela a pris des proportions tout autres. Le manche de la poêle sur sa plaque de cuisson qui m'envoie une décharge qui pousse ma main en arrière, le drap que je sors du sèche-linge, mon clavier d'ordinateur lorsque je ne l'ai pas touché depuis un peu de temps, les poignées de portes... Tout est bon. Le temps est pourtant parfois humide. Un élément m'échappe, en tout cas.
Je devrais me mettre sur le toit de l'immeuble, j'attirerais peut-être la foudre. Ou alors je ferai office d'antenne de télévision.